Depuis le début des fouilles il y a vingt ans, Anao a découvert et archivé des dizaines de milliers d’artéfacts, participant ainsi activement à la protection du patrimoine archéologique sous-marin présent sur la côte méditerranéenne. Trouver l’objet est une chose. Ensuite, il faut raconter son histoire.
« Malheureusement, les objets qu’on découvre en archéologie sous-marine n’ont plus d’histoire. C’est nous qui retrouvons les histoires en faisant les rapports de fouille, en particulier la partie scientifique » explique Eric Dulière, président fondateur d’Anao.