« Quand l’intuition se met au service de la science »… Nous sommes heureux et fiers de constater que la science de l’intuition intéresse de plus en plus.
Le projet Oracle en est une belle application et Paris Match a choisi de mettre en valeur cette aventure sous la forme d’une interview d’Alexis Champion.
Bonne lecture…
L’aventure
Le deuxième volet d’Oracle 1, axé sur l’exploration intuitive d’un objet archéologique, s’est achevé par la réalisation d’un film projeté en permanence au Musée de la Préhistoire Régionale de Menton.
Alexis Champion, directeur d’IRIS Intuition, revient sur cette aventure qui a mobilisé beaucoup de talents et a été riche d’enseignement.
Que penseront les visiteurs du musée archéologique de Menton devant cet étrange récit ? Savent-ils que le travail de découverte qui a été fait pour le cruchon peut l’être tout autant pour une épave, une ville même ? Savent-ils que ce n’est qu’un premier pas vers l’exploration intuitive qui, d’ici plusieurs décennies deviendra peut-être systématique dans le travail de prospection archéologique ?
Film présentant les résultats de l’étude intuitive et archéologique sur un petit cruchon retrouvé en fouilles et exposé au Musée de la Ville de Menton. Ce film est projeté en continu au musée, et est un des aboutissements du projet d’archéologie intuitive Oracle, mené par IRIS Intuition et par ANAO, l’aventure sous-marine.
Lundi 7 octobre 2016. Le film présentant une partie des résultats du projet Oracle 1 est installé aujourd’hui au Musée de la Préhistoire Régionale de la ville de Menton. Cette vidéo retrace la vie du petit cruchon exposé au musée, et sur lequel a porté l’étude qui a été menée lors du projet par IRIS et ANAO. J’ai hâte d’y être, de découvrir les réactions et l’accueil des responsables du musée, et d’enfin visionner, dans son contexte de présentation évident, le résultat d’un an de travail de toute une équipe.
« Je travaille avec des gens qui arrivent à accéder à l’information, au sens large du terme, en s’affranchissant des limites de l’espace et du temps. »
« Que me raconte donc cet illuminé ? » me demandé-je alors en écoutant mon collègue David, rencontré à peine quelques semaines plus tôt.
Au fil des discussions, il me parle du projet Oracle, du remote viewing et des recherches archéologiques associées. C’est cette vision non linéaire du temps qui m’accroche, car elle correspond à ce que j’ai appris depuis peu dans le domaine de la physique.
Par l’entremise de Gregory Gaule, nous entrons en contact avec Jean-Marc Pannetier qui nous ouvre les portes de Dubbing Brothers, leader sur le marché du doublage. L’enregistrement et le mixage ont lieu un soir dans ces immenses studios situés à La Plaine Saint Denis, au nord de Paris. Directeur artistique ayant supervisé le doublage d’un nombre incalculable de film, Jean-Marc s’implique à 100% dans la réalisation de la bande son qui accompagne les images et les dessins de David, guidant Gregory dans la lecture d’un texte écrit par Alexis, Guillaume et moi.
Intuitif depuis tout petit, la vie m’a toujours réservé des aventures extraordinaires. En écoutant mon intuition, j’ai eu plusieurs vies qui font l’homme que je suis devenu aujourd’hui. Une carrière de sportif, une chez les Pompier De Paris et aujourd’hui j’évolue en tant qu’acteur dans le cinéma français.
J’ai connu IRIS Intuition par une synchronicité, en cherchant à aller plus loin dans le développement de mes facultés.
Afin de rendre claire la démarche des intuitifs sur le cruchon, la vidéo doit comprendre deux aspects : une partie documentaire résumant rapidement le travail conjoint d’Iris et d’Anao et une autre, qui sera l’histoire reconstituée de l’objet. Les dessins prévus initialement pour le panneau deviennent des plans de film : il faut lier tout cela dans le temps, raconter vraiment une histoire. A l’origine, je ne devais être que témoin. Mon implication dans le projet prend une autre dimension. Les dessins aussi doivent prendre une autre dimension : il va falloir les animer. Mon compère Maxime, qui s’est fait une spécialité du motion design, saute sur l’occasion avec enthousiasme.
Lorsque nous prenons en main l’élégant petit objet qui a focalisé l’attention de toute l’équipe d’intuitifs, il y a plus d’interrogations que de réponses. Oui, le rapport donne des pistes quant à ses origines, sa fabrication et ses possibles fonctions. Mais il faut refaire une passe et cibler cette fois ses propriétaires. Très vite, Eric pense à un panneau à mettre dans le musée, raconter l’histoire de l’objet mais aussi celle de l’archéologie intuitive, pour rendre ce savoir accessible à tous. Nous ne pouvons pas être les seuls témoins d’une telle expérience. Faire de nouvelles sessions soit, mais comment raconter l’histoire d’un objet par le biais de telles informations ? Par quelle voie ? Le dessin offre une solution pratique.